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Photimages...d'hier et d'aujourd'hui
3 juin 2014

Une ville...avant et après : Le Pouliguen (10)

La Chapelle de Penchâteau, dite chapelle Sainte Anne, dédiée à Saint Julien, au siècle dernier et en août 2013.

C'est certainement le monument le plus ancien du Pouliguen. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques comme étant du XVe siècle depuis 1925, ainsi que le calvaire sur la place (source : L' Art Au Gré des Chapelles de la Presqu'île Guérandaise).

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Retour sur les séries précédentes.

Signalons par ailleurs la nouvelle initiative, entreprise par Chantal Goumas, présidente de l’association Poulig Collectiv’Arts au Pouliguen. Avec le soutien de l’association culturelle « Les Greniers de la mémoire », elle a décidé de recenser le nom de toutes les maisons du Pouliguen afin de raconter l’histoire de la commune, car les noms en disent beaucoup ! « C’est une démarche personnelle. La maison que j’ai héritée de mes parents s’appelait Ramoncho, alors qu’à l’origine elle s’appelait L’Aubépine, et j’ai voulu savoir les raisons de ce changement de nom. En face, il y avait une maison dont le nom me plaisait beaucoup, Domicile A Do Ré, avec des notes de musique sur la plaque... J’ai lu un livre qui faisait une étude sociologique sur les noms des maisons et j’ai trouvé que c’était un thème passionnant. En parcourant les rues du Pouliguen, je me suis aperçue que les noms des maisons disparaissaient de puis la numérotation. J’ai donc voulu inventorier ces noms. »

Le nom d’une maison peut apporter beaucoup dans la connaissance de l’histoire d’une commune et Chantal Goumas lance donc un appel à tous les habitants du Pouliguen afin de recevoir un témoignage sur l’histoire du nom de leur maison. Elle a déjà reçu de nombreuses anecdotes : « Il y a une maison qui s’appelle Les Lônes parce que ce sont des gens du Midi qui sont venus habiter ici et c’est le nom qu’ils donnent aux marais là-bas. Une maison s’appelle L’Etna, parce qu’elle était habitée par un Sicilien... Au début du XXe siècle, il y a deux maisons qui se sont construites, c’était deux copains qui s’étaient mariés, les maisons étaient jumelles parce qu’ils étaient aussi collègues de travail à l’Assemblée nationale... »

Chantal Goumas travaille avec Danièle Papion des « Greniers de la Mémoire ». « Elle a une maison en face de chez elle qui s’appelle « L’Inespérée » parce que ses propriétaires ont eu beaucoup de mal à la construire ! » Si vous connaissez l’histoire du nom de votre maison au Pouliguen, n’hésitez pas à transmettre votre témoignage à Chantal Goumas au 02 51 76 94 33. Source : La Baule +, mensuel gratuit d’informations - n° 122 - Mai 2014.

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